BMW dément toute accusation d’espionnage dans l’affaire Autolib’

L'I3 électrique de BMW
L’I3 électrique de BMW

BMW a contesté toute accusation d’espionnage dans l’affaire Autolib’ qui a éclaté il y a quelques jours en France. Le groupe Bolloré qui gère Autolib’, le service de voitures électriques en libre-service, accuse le constructeur automobile allemand d’espionnage industriel.

En août dernier, deux hommes travaillant pour l’agence de consultance P3 Group, un sous-traitant de BMW, ont été vu en train d’effectuer des interventions ‘suspectes’ sur des bornes de rechargement des voitures électriques en libre-service à Paris. Selon BMW il s’agit de simples tests de routines pour vérifier la compatibilité des recharges des voitures électriques de la marque BMW accessibles sur la voie publique. Pas vraiment difficile à comprends, vue que BMW prépare le lancement mondial de son I3 électrique.

Les deux techniciens allemands ont été arrêtés par le service de contra-espionnage français DCRI. BMW de sa part confirme avoir effectué ces tests de routine en août à Paris, mais dément avoir conduit ou mandaté un quelconque test en septembre. De nouveau, pas de surprise vue que l’agence de consultance P3 Group exécutait alors un contrat pour un autre producent.